Evènements
Lecture de "Dieu se moque des lèche-bottes", farce théatrale de Michel Baglin au Théâtre du Nord Ouest
samedi 8 juin 2019 14:30 samedi 8 juin 2019 16:30
Revue TEXTURE : Appel à dons
Amis
L’année prochaine, il y aura 10 ans que j’ai « relancé » en ligne la revue Texture (qui avait fait paraitre 35 numéros imprimés de 1979 à 1989) – et cela sous la forme d’un site accessible à tous, gratuitement, où l’on peut lire aujourd’hui des articles, notes de lectures, portraits, interviews et infos diverses, soit au total plus de 2500 entrées et près de 250 dossiers « auteurs ». Une douzaine de critiques (bénévoles) y collaborent régulièrement, et quelques autres occasionnellement.
J’ai toujours tenu à ce que le site et les envois des « Poèmes du mois » ou de la lettre d’info trimestrielle soient gratuits - ils le resteront bien sûr – et c’est donc sur mes deniers que j’ai financé le site, les interventions d’informaticiens, les coûts des achats divers (matériels) et d’envois postaux. Or le prix de l’hébergement a doublé l’an dernier, les factures informatiques augmentent, quant aux tarifs postaux, ils explosent !
Dans ces conditions et alors que je n’avais jusqu’alors rien demandé à personne, je me suis résolu à déposer une demande d’aide auprès de la DRAC. Mais le dossier doit comprendre un budget prévisionnel où les dépenses sont équilibrées par des recettes. Or de recettes, il n’y en a point, puisque Texture est un service gratuit !
Me voilà donc contraint de lancer un appel aux dons auprès des lecteurs de la revue en ligne ! Je n’ai guère plaisir à accomplir cette démarche, mais sans trésorerie, pas de subventions possibles ! (je comprends bien sûr qu’une association sans fonds propres ne puisse être crédible aux yeux de l’administration…) En tout état de cause, une éventuelle subvention ne pourra être plus élevée que les recettes propres de l’association…
Amis, je vous lance donc un appel : si vous appréciez Texture et souhaitez qu’elle poursuive son chemin, vous pouvez l’aider en envoyant un chèque (minimum, 10 euros, maximum, à votre bon cœur !) à l’ordre de :
Association littéraire Texture.
CCP : 03 859 98 E Toulouse
6, impasse de la Garonnette. 31840 SEILH
Par avance, je vous remercie. Bien amicalement à vous
Michel Baglin
mercredi 21 novembre 2018 14:48 lundi 31 décembre 2018 14:48
Marché de la poésie
Amis
Je serai dès demain, mercredi 6 juin, à Paris, pour le Marché de la poésie, comme chaque année.
(Le 36e Marché de la Poésie se déroulera à Paris, place Saint-Sulpice, comme chaque année, du 6 au 10 juin 2018, de 11h30 à 21h30. C’est LE rendez-vous des éditeurs de poésie et des poètes, l’occasion pour bien des amis – notamment venus de province - de se retrouver.)
Pour ma part, j’aurai plaisir à vous y rencontrer si le cœur vous en dit. Je signerai chez les différents éditeurs où j’ai publié récemment, entre autres :
Vendredi 8 juin, de 13 à14heures au stand des éditions Henry (stand 622) pour mes « Lettres d’un athée à un ami croyant »
Également, le même jour, de 14h30 à15h30 au stand des éditions Pétra pour mon recueil de nouvelles « Eaux troubles »
Samedi 9 juin Au stand des éditions Rhubarbe pour « L’Alcool des vents » et « Chemins d’encre »
On pourra également me trouver sur les stands du Castor Astral (pour « De chair et de mots ») et de Bruno Doucey (pour « Un présent qui s’absente »).
A bientôt peut-être
Michel
mercredi 6 juin 2018 10:30 dimanche 10 juin 2018 17:30
"Poèmes du mois 2"
Chers amis
En attendant la lettre d’info trimestrielle de Texture (qui ne saurais tarder !), je vous adresse le deuxième envoi des « Poèmes du mois ».
Vous en connaissez maintenant le principe car vous avez dû recevoir le premier envoi (sinon faites-moi signe).
J’espère qu’il sera aussi bien reçu que le précédent, qui m’a valu beaucoup de courriers, et vous en souhaite une bonne lecture
Bien amicalement à vous
Michel B.
mercredi 11 octobre 2017 12:20 mardi 31 octobre 2017 12:20
Michel Baglin sera au marché de la poésie
Amis parisiens
Je « monte » à la capitale pour le Marché de la Poésie qui se tient place Saint-Sulpice à Paris en juin (8, 9, 10 & 11).
J’aurai plaisir à vous y rencontrer si le cœur vous en dit. Je signerai dans les stands suivants, chez les éditeurs où j’ai publié récemment :
Vendredi 9 juin : stand du Castor Astral, de 18 à 19 heures.
Stand des éditions Bruno Doucey de 19 à 20 heures.
Samedi 10 juin : stand des éditions Henry, de 19 à 20 heures.
Dimanche11 juin : Stand des éditions Bruno Doucey de 11h30 à 12h30
Stand des éditions Rhubarbe de 17 à 18 heures.
Mes derniers livres :
Lettres d’un athée à un ami croyant (éd. Henry)
Un présent qui s’absente (B. Doucey)
De chair et de mots (Castor astral)
L’Alcool des vents (Rhubarbe)
Chemins d’encre (Rhubarbe)
A bientôt peut-être
Avec amitié
Michel B.
vendredi 9 juin 2017 10:00 dimanche 11 juin 2017 18:00
Michel Baglin nous annonce la sortie sortie de son recueil de nouvelles
Eaux troubles
Aux éditions Pétra
Ces quinze nouvelles nous rappellent qu’un rien suffit à rendre les eaux troubles. Ici c’est une crue, un remous, ailleurs un pont lancé, un vent mauvais, une rencontre ou une couronne d’olivier, une pollution de l’air ou de l’âme…
Ces intrigues, souvent inspirées de reportages, nous font aussi voyager, car elles se déroulent sur le canal Volga-Baltique, un lac du Québec, un quai de gare, à Constantine, dans une vallée du Sud tunisien ou dans le maquis corse… Ou simplement en descendant le cours d’une vie au fil de la Garonne, à Toulouse…
Des histoires en suspension se cristallisent alors quand remontent du fond vaseux des existences et de la solitude, les émotions enfouies. Non sans humour souvent…
Éditions Pétra 2016. Paris. 196 pages. 16 euros. ISBN 978-2-84743-157-5.
En librairies ou chez l’auteur en commandant à baglin.michel@wanadoo.fr
En savoir plus : http://revue-texture.fr/eaux-troubles.html
mercredi 14 décembre 2016 12:45 samedi 14 janvier 2017 12:45
Rencontre-lecture avec Michel Baglin, Max Alhau, Gérard Bocholier et Marcel Migozzi
Amis parisiens (ou de passage dans la capitale…)
A l’occasion de la sortie de mon recueil de nouvelles
« Eaux troubles »
aux éditions Pétra, je suis invité
le Mardi 22 Novembre 2016, à 19 heures
À la Galerie de L’Entrepôt
(7, rue Francis de Pressensé 75014 PARIS)
pour une rencontre lecture avec également
Max Alhau, Gérard Bocholier et Marcel Migozzi.
Jeanine Baude nous présentera et nous interrogera.
Rencontres prolongées avec les auteurs et dîner dans le restaurant de l’Entrepôt pour ceux qui le souhaitent.
Alors, si le cœur vous en dit, je vous dis « à bientôt »
Discussions et Lectures autour de deux recueils de nouvelles de Max Alhau et Michel Baglin, du Journal (1996-2016) de Gérard Bocholier (Collection Granits) et du recueil de poèmes de Marcel Migozzi : Des jours, en s’en allant (Collection L’Oiseau des runes)
L'Entrepôt - 7, rue Francis de Pressensé 75014 PARIS - 01 45 40 07 50 - Métro Pernety
Éditions Pétra - 01 43 71 41 30
J.Baude - 06 72 21 47 65
mardi 22 novembre 2016 19:00 mardi 22 novembre 2016 21:00
Marché de la poésie à Paris
Michel Baglin sera au Marché de la poésie à Paris les vendredi après-midi, samedi et dimanche (10, 11, 12 juin).
Vous pourrez le retrouver aux stands des éditions Bruno Doucey, Rhubarbe, et le Castor Astral.
vendredi 10 juin 2016 14:30 dimanche 12 juin 2016 18:00
Actualités printemps 2016
lundi 30 mai 2016 10:33 dimanche 19 juin 2016 10:33
Gilles Verdet « Fausses routes »
http://revue-texture.fr/fausses-routes.html
Le Grand prix de la Société des Gens de Lettres de la nouvelle 2016 a été attribué à Gilles Verdet pour son recueil « Fausses routes » publié aux éditions Rhubarbe. (Remise du prix le 21 juin 2016 au siège de la SGDL à Paris) Une récompense méritée pour un livre brillant à la construction ingénieuse. Un bonheur de lecture à partager sans modération.
Si le texte, comme nous le rappelle l’étymologie, est un tissu et la nouvelle un tissage bien particulier, Gilles Verdet est un maître qui tire avec brio les fils de sa trame narrative. On reste admiratif devant l’habileté de sa construction en écho et les perspectives qu’ouvre le croisement des récits.
Il est difficile et pour tout dire cruel de rendre compte de récits policiers, surtout lorsque ceux-ci jouent sur l’imprévu, le secret, l’inattendu qui vous entraîne sur une voie qui n’a pas été choisie et encore moins envisagée. « L’insolite et l’incongru n’existent que parce que l’on ne s’y prépare jamais. » Et plus on croise les routes, plus on multiplie les possibilités, c’est bien connu.
Dans ce livre, la vie, avec ses chassés-croisés, ses boucles fantaisistes, ses « fausses routes » réserve de drôles de surprises, certaines plus assassines que d’autres et l’horreur, la violence voisinent avec le cocasse plus souvent qu’à leur tour.
Le lecteur découvrira au fil des cinq nouvelles noires, non dénuées d’humour, les liens connexes entre les personnages, les situations, les objets, les dialogues, les petites phrases…, les intrigues se nouant à Paris autour d’un bistrot où gravitent les protagonistes. « Les terrasses de bistrot c’est le parterre d’un théâtre. », les secrets s’y dévoilent au grand jour, et pour les autres, ceux de l’arrière-plan, on les imagine « tout au fond ». Il y a du théâtre en effet, et du cinéma, dans ces comédies tragiques mises en scène par Gilles Verdet. S’y répondent, à différents niveaux de profondeur, quelques figures masculines et féminines : le timide, le sûr de lui, le floueur floué, la bobo branchouille, le comédien figurant, le clandestin débrouillard, le trublion de service, le couple adultère, le voyeur, la maîtresse sado-maso, le marchand malhonnête… chacun pouvant jouer, selon la scène et l’heure, plusieurs rôles dans plusieurs costumes…. C’est un microcosme interconnecté aux prises avec ses vies secrètes, ses trompe-l’œil, ses jeux de miroirs que nous raconte l’auteur qu’on imagine ici, à l’instar de ses personnages, attablé en terrasse, « la curiosité aux aguets », caméra dans l’œil, prêt à varier ses points de vue, ses angles, tout comme ses registres de langue, notamment l’argot.
Le lecteur s’amusera à revenir en arrière pour saisir le moment où chaque histoire bifurque dans une autre, créant des jeux de perspectives, des mises en abyme propres au mystère, à l’effet mosaïque, au leurre. Il pourra choisir par exemple de suivre le fil Magritte, cet as de la représentation des images mentales qui se moquait de l’esprit de sérieux. On retrouve en effet dans plusieurs nouvelles les œuvres du peintre qui pourraient apparaître comme le fil rouge du livre, en tout cas fournir une clé de lecture parmi d’autres (le trousseau en contient plusieurs !).
L’auteur aime lui aussi aller au-delà des apparences et jouer avec la réalité, la vision que nous avons de cette réalité. Les éléments s’interpellent au fil de la lecture, tissant des rapports qu’on pourrait croire sans fin, s’il n’y avait ces morts inscrites dans la trame des histoires, avec un effet domino qui touche tout le monde. La faute au petit grain de sable contre lequel on ne peut rien, un petit effet papillon, une mauvaise note sont toujours possibles, un couac dans la partition et hop, le pire arrive, comme allant de soi. Et le pire du pire peut se cacher derrière le banal le plus inoffensif. Finalement, les chutes dans la vraie vie n’ont peut-être pas grand-chose à voir avec celles des livres ou des films. On repense là encore à Magritte et à son souci de décaler l’objet et sa représentation, dans une démarche qui fuit tout conventionnel. « Ceci n’est pas une pipe », de même que ce bouquet de roses n’est pas un bouquet de roses, mais l’image d’un bouquet de roses. La peinture n’est pas un miroir de la réalité, l’écriture non plus, elle est plus que cela puisqu’elle nous contient, nous et notre regard, tout comme celui des personnages. Entre réalité et fiction, vérité et mensonge, on peut faire fausse route plus d’une fois.
C’est cette vision entrecroisée, chorale pourrait-on dire (dans le sens filmique du terme), interprétable à plusieurs niveaux, que l’on aime dans ces cinq nouvelles reliées par des fils qu’on s’amusera à tirer à sa guise, la pelote, elle, les déroulant dans l’unité d’un style dense, visuel, original et efficace. Une réussite.
(« Fausses routes », nouvelles de Gilles Verdet, éditions Rhubarbe, décembre 2015, 13 euros.)
Marilyse Leroux
mardi 17 mai 2016 14:34 mercredi 8 juin 2016 14:34
Michel Baglin invité du "Mercredi du poète" pour une Rencontre avec Lecture – débat – signature
mercredi 25 novembre 2015 15:00 mercredi 25 novembre 2015 17:00
Récital lectures/chansons avec Jacques Ibanès
32120 Sarrant
Tel : 05 62 65 09 51
samedi 21 décembre 2013 20:00 samedi 21 décembre 2013 22:30
4ème Nuit de La Presqu'ile
A Paris, participation à la 4ème Nuit de La Presqu'ile
à la Bibliothèque Crimée (Paris 19e)
le vendredi 13 décembre à partir de 19 heures
Bibliothèque Crimée
75019 Paris
Bus : lignes 60, 48
Tél. : 01 42 45 56 40
vendredi 13 décembre 2013 19:00 vendredi 13 décembre 2013 21:00
Lecture et musique au Théâtre des Ateliers du Chaudron
mercredi 11 décembre 2013 20:00 mercredi 11 décembre 2013 22:00
Signature de Michel Baglin à la librairie Floury
Signature de Michel Baglin
à la librairie Floury de Toulouse (31)
avec Bruno Doucey.
Le jeudi 5 décembre en fin d’après-midi
Librairie Floury Frères
36 Rue de la Colombette
31000 Toulouse
jeudi 5 décembre 2013 17:00 jeudi 5 décembre 2013 18:30
Participation au colloque « Pourquoi des poètes aujourd’hui ? »
Michel Baglin participera au colloque et à la table ronde sur le thème
« Pourquoi des poètes aujourd’hui ? »
Samedi 30 novembre de 14 à 18 heures.
samedi 30 novembre 2013 14:00 samedi 30 novembre 2013 18:00
Rencontre et signature de Michel Baglin au Salon de Saint-Lys
Salon de Saint-Lys (31)
Rencontre et signature de Michel Baglin
les 23 et 24 novembre, toute la journée.
samedi 23 novembre 2013 10:00 dimanche 24 novembre 2013 18:00