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    Site de Jean-Pierre Simoni

    Présentation d"Autobiographie d’un spermatozoïde" au GEM

    La maison d’édition Les Presses du midi (*) mère porteuse du projet, ainsi que moi-même auteur de cette procréation médicale assistée, avons eu le privilège de présenter un aperçu d'«Autobiographie d’un spermatozoïde » au congrès GEM (Groupement des écrivains Médecins) présidé par le docteur Roland Noël.

       J'ai été agréablement surpris par l'accueil réservé à mon ouvrage devant un nombreux public de confrères venus de la France entière et très attentifs à mes propos ! Ci-dessus des clichés plus explicites relatifs à cette mémorable journée. Ce roman scientifique est actuellement entre les mains des membres du jury du prix Littré.

    Actualités de Jean-Pierre Simoni

    Je vais participer le samedi 18 septembre, de 10 à 18 heures, au salon "GRAIN de la vallée" ancienne école de la Reynarde 196 traverse de la Penne sur Huveaune 13 011,  pour y présenter mon dernier ouvrage.

    Le samedi 2 octobre je dédicacerai "Autobiographie d'un spermatozoïde" à la foire de Marseille et je suis invité au congrès GEM (Groupement des écrivains médecins) qui se tiendra le 6 et le 7 novembre.


    Parution "Autobiographie d'un spermatozoïde"

    Autobiographie d'un spermatozoïde

    publication Les Presses du Midi

    https://lespressesdumidi.com/

    Décaméron 2020 - Projet collaboratif au temps du confinement. Lire, rêver, écrire, vivre…

    Une efflorescence littéraire inédite, en résistance au premier confinement...

    La grande diversité des styles et des catégories littéraires font du Décaméron 2020 un ouvrage hors du commun et d’une richesse exceptionnelle : nouvelles, contes, témoignages, récits, prose, poésie, noir, érotisme, jeunesse, art, théâtre… 

    Ce samedi 5 décembre, les éditions Albiana ont reçu, pour le Décaméron 2020, le Trophée de l'édition 2020 [Catégorie Innovation du confinement ] décerné par Livres Hebdo !

    Le moment où…

    Au mois de mars 2020 est tombée sur nos têtes l’annonce d’un confinement général.

    On aurait pu croire, aux premiers jours de cette catastrophe, que le temps se figeait, que nous devions en finir avec nos illusions, que l’avenir n’était tout simplement plus envisageable au-delà du lendemain… Le monde changeait sans que nous n’y puissions plus grand-chose. La maladie, l’impuissance et la mort, voilà ce que nous disait brutalement l’époque.

    Et puis il y a eu le moment où nous avons compris que, depuis nos balcons, nous pouvions enfin nous arrêter pour contempler, réfléchir, créer… La nature reprenait ses droits et nous imposait son silence, ses bruissements, ses vibrations essentielles. De notre côté, pris au vertige d’une liberté personnelle soudaine et inattendue, nous pouvions enfin nous occuper de nous-mêmes et des nôtres. Le temps était venu de respirer…

    Et puis est arrivé ce moment où on s’est dit que, non, on ne se laisserait pas faire, qu’au moins nous allions crier et nous battre, faire du bruit pour nous, pour les autres, pour dire que nous étions vivants et que rien ne serait plus comme avant, non, et que collectivement nous recommencerions tout…

    Et encore ce moment où l’envie nous a pris de profiter de la vie, de rire et s’amuser, d’offrir son amour. Envie de vivre sans peur, d’inventer, de se réinventer… Envie d’imaginer des mondes, de raconter et de se raconter, et d’écouter des histoires ; une soudaine et dévorante envie de littérature !

    C’est de cette fureur de vivre qu’est né notre Décaméron en mars 2020. Un projet de littérature partagée, solidaire, populaire, unique…

    C’est alors qu’une constellation de textes en tous genres, de toutes provenances, de tous styles a illuminé notre ciel pour dire que oui, nous saurions surmonter ensemble tous les confinements, pour toujours.

    Plus d'informations

    Le Salon du livre corse 2019

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    Programme de Jean-Pierre Simoni

    "Djihâd-Chiche-Kebab-Connexion" (éditions Publilivre).

    Je participerai aux journées du livre à Ceyreste dès le 1er décembre.

    Le 19 et 20 janvier je dédicacerai aux journées du livre Corse au n°69 rue Sylvabelle à Marseille.  

    Jean Pierre Simoni sera en dédicace au Bandol Polar Connection

     

    Le 16 septembre je serai au "BANDOL POLAR CONNECTION",

    pour une journée entière de dédicaces sur les pontons du port

    pour mon dernier roman

    "Djihâd-Cheiche-Kebab-Connexion"

    est actuellement disponible sur le site de l'éditeur

    www.publilivre.fr

     

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    Programme de l'été de Jean-Pierre Simoni

     

    Le 27 et 28 juillet, de 10h à minuit, place Foch à Ajaccio avec CORSICA POLAR.

    Le 16 août à Porticciu, toujours avec CORSICA POLAR.

    Le 17 août à Corbara, à partir de 17h, pour des rencontres avec les auteurs, organisées par le centre culturel de la mairie.

    Parution de "Djihâd Chiche-Kebab Connexion"

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    Djihâd Chiche-Kebab Connexion

    (Résumé)

    Timothée, héros malgré lui de ce thriller, est orphelin  d’un père corse abattu dans un règlement de comptes six mois avant sa naissance. L’inconscience d’un oncle prénommé Augustin fiché au grand banditisme, auteur du casse de la Brink’s à Marseille, lui vaut une lourde condamnation. C’était, cruelle coïncidence, le jour anniversaire de ses vingt ans. Aux Baumettes, sa rocambolesque généalogie n’a cessé de l’encenser auprès des codétenus.

    Dans ce roman j’ai voulu faire du lecteur un témoin privilégié d’affrontements, à la vie à la mort, entre trois communautés. En effet, corses, maghrébins et arméniens se défient dans l’espace confiné du trafic de stupéfiants. Les héros de ce drame, fichés « au grand banditisme », n’ont pas conscience d’être des marionnettes programmées par un lourd passé généalogique. Ce Djihâd, subi par mes héros, n’a rien de commun avec celui dont on nous rebat les oreilles. C’est un Djihâd particulièrement taiseux, rampant, typé boa constrictor. Il vient jusque dans vos  bras pour asphyxier nos enfants dans une étreinte sans fin. Notre jeunesse est décérébrée par l’immixtion lente des poisons que les fous de Dieu diffusent au prix fort. Nous avons affaire à des assassins, pas à des vendeurs à la sauvette de marchandises contrefaites. Des dizaines de milliers de morts, directes ou indirectes, leurs sont imputables. Pourquoi ne les condamne-t-on pas comme des empoisonneurs volontaires ? Des peines de perpétuité, ou de 30 ans d’emprisonnement incompressibles, seraient autrement plus dissuasives.

    Ceci étant avancé, il n’y a pas que les djihadistes, le grand banditisme corse s’est également introduit dans tous les rouages de la société insulaire. L’industrie touristique, le bâtiment et le commerce, les vignobles, les sociétés de gardiennage, sont pollués par de l’argent sale…

    Le salon du livre corse 2018

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